Noblesse oblige!
Quand les caprices des princes influencent la facture instrumentale
Dans sa collection cachée d’instruments de musique, le MAH conserve de précieux témoignages des mœurs aristocratiques françaises du XVIIIe siècle. Les nobles se piquent alors de vie champêtre, jouent aux bergers d’Arcadie au son de la vielle à roue et de la musette. Dans le même temps, ils refusent la pratique du violon jugé trop populaire et contribuent par ce «snobisme» au développement du pardessus de viole qui permet d’en jouer le répertoire sans perdre de sa superbe.
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